La forêt qui borde le camp du tonnerre, ne laisse pas apercevoir, la grande comble et cavité qui forme le camp. Les parois dans la roche laisse la possibilité d'avoir des tanières enfouies comme des grottes permettant d'éloigner la chaleur mais prenant l'humidité par certains endroits. Le promontoire est une butte rocailleuse donnant à la tanière du chef, une grotte. La guérisseuse quant à elle, à un endroit enfouie, dans les buissons, avec une petite mare pour les malades. Le gibier est au centre.

Une petite clairière baigné dans une douce luminosité et où l'ombre englobe le maître des lieux car au centre de la clairière, dominant le reste, le vieux chêne de plus de 100 ans, garde encore ses vieilles ramures prés de lui et survit au vent, aux tempêtes. Son vieux tronc noueux monte vers la dense touffe qui couvre son sommet. En automne, il prend des teintes orangées donnant la couleur de l'aube lorsqu'elle se lève. L'endroit du vieux chêne est un coin paisible où beaucoup viennent se retrouver pour discuter.

Lorsque le sable commence à chauffer vos pattes, vous vous attendez sûrement à tomber sur une plage paradisiaque, avec des cocotiers et tout. Mais si devant vous s'étale bel et bien une plage, à l'eau chaude et délicieuse, aux arbres porteurs d'une ombre bienfaisante, vous vous rendez vite compte que vous devrez rester sur la plage parce que vous vient la peur au ventre d'aller dans l'immensité de la mer. Sans fin, les vagues s'écrasent sur le sol et jamais, on ne verra l'horizon.